Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Christopher Froome qui l'a dit...

Voici quelques déclaration de Chris Froome à propos du dopage :
«100% propre» Impressionnant vainqueur de la première étape du Tour de France avec arrivée au sommet, le 6 juillet 2013 à Ax-3 Domaines, Froome assure que son succès est «100% propre. Je sais que le sport a changé, poursuit-il. Il n'y aurait absolument aucun moyen pour moi d'obtenir ces résultats si ce n'était pas le cas. Je sais que ceux que j'obtiens ne seront pas rayés dans dix ou vingt ans. Pour moi, c'est un peu une mission personnelle de montrer que les choses ont changé.»
«Lance a triché, je ne triche pas» A nouveau sans rival en haut du Ventoux, lors de ce même Tour 2013 qu'il remportera pour la première fois, Froome fait face à un assaut de questions pendant la journée de repos et y répond fermement : «On m'accuse d'être un tricheur et un menteur, ce n'est pas cool. Lance (Armstrong) a triché, je ne triche pas. Point final.»
«Ce n'est plus le Far West» Nouvelle profession de foi quelques jours plus tard, à la veille de l'arrivée sur les Champs-Elysées : «Ce n'est plus le Far West d'il y a dix, quinze ans. Le sport n'est plus le même. Il y en a encore qui prennent des risques mais, il y a quinze ans, c'était partout. Il n'y a pas de raisons que le même niveau de suspicion soit maintenu.»
«Je ne bafouerai jamais le maillot jaune» Lors de son discours prononcé sur les Champs, le 26 juillet 2015, Froome assure qu'il «conna(ît) les bons et les mauvais côtés de l'histoire du maillot jaune. Je ne le bafouerai jamais», promet-il.
«La première suspension pourrait être beaucoup plus dure» Dans une interview à L'Equipe parue le 26 août 2013, le Britannique s'exprime sur la politique antidopage et affirme : «Je crois que la première suspension, qui est actuellement de deux ans, pourrait être beaucoup plus dure. Il doit être beaucoup plus clair que si tu enfreins les règles et que tu essaies de tricher, il n'y aura plus de place pour toi.»
«Je n'ai sincèrement rien à craindre» En marge du critérium de Saitama, le leader de Sky répète : «Si j'avais quelque chose à cacher ou si j'avais une quelconque stratégie élaborée, alors ça m'ennuierait vraiment, ce serait mon monde tout entier qui s'écroulerait. Mais je n'ai pas de secret, je n'ai sincèrement rien à craindre.»
Mais voila... Le 13 décembre 2017, on apprend que Chris Froome subit un contrôle antidopage "anormal" au tour d'Espagne de cette même année...

Source : L'équipe, 13 décembre 2017 Votez! 3 vote(s)

Valérie Pécresse
"Moi je veux une région propre. Rien de tel qu'une femme pour faire le ménage." On penserait cette parole sortie de la bouche du plus machiste des hommes politiques. Et bien non, c'est Valérie Pécresse qui l'a prononcé durant la campagne des régionales d'Ile de France de 2015! On lui doit d'autres pensées proches : "Pensez-vous que le plus grand nombre sont les pères qui ont envie de changer des couches ?" dans le journal des femmes de 2013, à propos du congé parental pour les pères. Ou encore cette déclaration sur un gyropode, essayé lors du forum Futur en Seine, en juin 2016. "Ça a l'air complexe. Si ce n'est pas fait pour les femmes… Vous excluez la moitié de la population, vous savez, si c'est trop compliqué"
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Nicolas Sarkozy
Dans le journal télévisé d'Antenne 2, le 31 mars 1993, on pouvait assister à cet échange très intéressant entre le présentateur, Paul Amar (PA), et Nicolas Sarkozy, fraîchement nommé ministre du budget.
P.A : "Vous roulez dans quelle voiture?"
N.S : "Je roule en R25, c'est la voiture de mon prédecesseur".
P.A : "Et vous allez la garder?"
N.S : "Bien sur, je vais la garder. Il est normal que le budget donne l'exemple"
P.A : "Est-ce que ce n'est pas une mesure gadget de ne pas changer de voiture?" N.S : "P.A. c'est peut-être une mesure symbolique, mais dans la société de communication qui est la nôtre, les symboles, ça sert, à envoyer des signals (sic!) notamment."
En novembre 2007, Nicolas Sarkozy, élu Président depuis quelques mois, est augmenté (s'augmente?= de 172%. Voilà un signal fort!
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Emmanuel Macron
"La guerre en Syrie sera gagnée d'ici mi, fin février". Voici ce que déclarait Emmanuel Macron le 17 décembre 2017 sur France 2. Pourtant, le 15 mars 2019, les combats font encore rage dans la Ghouta orientale et à Afrin...
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Jean D'Ormesson
"L’écrivain doit faire attention à tout ce qu’il écrit, il doit faire attention à tout ce qu’il dit. Et il doit faire attention à la façon dont il meurt", expliquait Jean d'Ormesson le 11 octobre 2008 sur le plateau de "Salut Les Terriens".
"Vous savez, c’est très mauvais pour un écrivain de mourir, par exemple, en même temps que Piaf", ironisait encore l'Académicien, prenant exemple sur ce qui était arrivé à Jean Cocteau.
Il n'imaginait forcément pas que la légende française Johnny Hallyday ne mourrait 24 heures après lui.
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Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy, en visite en province alors qu'il était ministre de l'intérieur : "Je suis favorable à l'interdiction de fumer dans les lieux publics" afin de "préserver le fumeur passif", a déclaré le ministre de l'Intérieur. "Pour autant, interdire de fumer là où on vend du tabac, c'est curieux ! Mon idée est la suivante: je suis pour la généralisation de l'interdiction de fumer mais je suis contre les règles rigides qui s'appliqueraient partout sur le territoire de la République". Selon lui, il n'est pas possible d'aborder ce problème de la même manière "dans un bourg de 750 habitants et lorsqu'il y a 30 cafés-restaurants en coeur de ville", d'où son idée "d'adaptations géographiques", car "on a besoin des 33.000 cafés-restaurants. Je suis conscient du rôle que jouent ces établissements". Quelques mois plus tard, le résultat. Le décret tabac s'appliquera bien, à la date prévue, et dans la cadre prévu. On l'assure désormais du côté des ministères "pro-décret", ceux qui défendent l'application au 1er janvier prochain de l'interdiction de fumer dans tous les lieux dits de convivialité, y compris les bars-tabacs, y compris le petit café de campagne. Une semaine tout juste après la manifestation des buralistes venus réclamer à Paris des assouplissements, le sujet était au menu du conseil des ministres mercredi matin.
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Karim Benzema
Déçu par sa 25e place au classement du Ballon d'Or, l'attaquant français s'est interrogé sur la hiérarchie de l'édition 2017 comparée à «un tirage au sort au hasard» derrière le trio de tête.
Même s'il a remporté la Ligue des champions pour la troisième fois de sa carrière et obtenu un nouveau titre de champion d'Espagne avec le Real Madrid en compilant 24 buts depuis le début de l'année, Karim Benzema n'a pointé qu'à la 25e place du Ballon d'Or France Football jeudi soir. S'il ne remet pas en cause le podium de l'édition 2017 qui a couronné Cristiano Ronaldo devant Lionel Messi et Neymar, l'attaquant tricolore s'interroge en revanche sur la logique de la suite du classement.
Dans un Tweet publié dans la nuit de jeudi à vendredi, le joueur toujours indésirable en équipe de France a écrit un tweet qui en dit long sur ses interrogations. «Après les trois premières places pour le Ballon d'Or, c'est un tirage au sort au hasard pour le reste du classement?», a écrit l'ancien lyonnais en accompagnant son message de deux émoji, le premier dubitatif et le second riant.
Tout en humilité, Karim!
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Gaspard Gantzer

À la tête de son propre mouvement «Parisiennes, Parisiens», Gaspard Gantzer assurait dès mars 2019 qu'il ne se rallierait «jamais» à la liste de La République en marche. «Quand je me lance dans une bataille, c'est pour y aller totalement et jusqu'au bout. Il n'y aura ni ralliement, ni rustine apportée aux uns et aux autres», avait-il martelé sur France Inter. Sur Europe 1 en août 2019, le candidat ne disait pas autre chose : «On ira jusqu'au bout, quoi qu'il arrive. Rien ne nous fera dévier de notre route». Puis la semaine du 10 février, il déclarait encore au Figaro : «Qu'il pleuve ou qu'il vente, j'y vais quand même». Mais le jeudi 20 février, voilà qu'il annonce son ralliement à Agnès Buzyn, tête de liste de LREM....

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Agnès Buzyn
"Je ne pourrai pas être candidate aux municipales : j'avais déjà un agenda très chargé, j'ai beaucoup de réformes dans le ministère, et s'est rajouté un surcroît de travail avec la crise du coronavirus, qui aujourd'hui m'occupe énormément. J'avais dit à Benjamin Griveaux malgré mon soutien que je ne pourrais pas m'engager auprès de lui". Voici ce que déclare Agnès Buzyn le vendredi 14 février 2020 après que Benjamin Griveaux se soit retiré de la course à la mairie de Paris. Deux jours plus tard, le dimanche 16 février, dans l'après-midi, elle se déclare finalement candidate....
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