Il fallait oser le dire!
C'est Olivier Echouafni qui l'a dit...
Olivier Echouafni était l'entraîneur de l'équipe de France féminine durant l'Euro 2017. Son équipe est éliminée, sans gloire, par l'Angleterre après les quarts de finale. Sa première réaction n'a pas été de blamer ses joueuses, loin de là. Ainsi il déclara : "Ce n'est pas réellement une déception, il y a un peu de frustration. C'est difficile à accepter, on aurait mérité mieux (...). Je suis surtout déçu par la qualité de jeu de nos adversaires". Déçu de la qualité de jeu d'adversaires qui a éliminé son équipe! On croit rêver!
Source : Eurosport, 31 juillet 2017 Votez! 0 vote(s)
Louis Nicollin
«Je ne lui en veux pas, c'est un mec bien, mais je pense que j'ai fait une connerie.»
Louis Nicollin se pose des questions au sujet de Jean Fernandez en décembre 2013, un entraîneur qu'il a recruté pendant l'été.
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François Fillon
Lors d'une interview à RTL, le 16/11/2016, il déclare, parlant de la candidature d'Emmanuel Macron, que "[sa] conviction, c'est que les Français ne confieront pas leur destin à quelqu'un qui n'a pas d'expérience". Ils ont préféré ne pas le confier à quelqu'un qui a fourni un emploi à sa femme sur les deniers publics!
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Jean-Michel Blanquer
« Il n'y aura pas de loi Blanquer, j'en serai fier », avait promis le ministre de l'Education en mai 2017. Il s'est visiblement ravisé. En octobre 2018, une loi Blanquer est présenté au Conseil Supérieur de l'Education.
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Lydia Guirous
"La France est le pays européen qui accueille le plus d'étrangers". Voici ce que déclare Lydia Guirous, porte-parole du parti les Républicains, en septembre 2015. C'est complètement faux! ll y a alors 500 000 étrangers de moins en France qu'en Allemagne. Proportionnellement à la population, en France, les étrangers représentent 8,3% de la population totale. C'est loin derrière la Suède, le Luxembourg ou encore l'Estonie. Dans ces pays, plus d'un habitant sur dix vient d'un pays en dehors des frontières de l'Union européenne.
Concernant les demandeurs d'asile, c'est l'Allemagne et la Suède qui sont le plus sollicités. Et leur taux de réponse positive (50% en Allemagne, 80% en Suède) est bien supérieure à celui de la France.
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Johnny Halliday
Nous sommes en 2002, juste avant la Coupe du monde au Japon et en Corée du Sud. Johnny Hallyday est l'invité du Journal de 20h, sur TF1. Il est le chanteur de "Tous ensemble", l'hymne des bleus pour cette Coupe du Monde. Claire Chazal, qui présente ce soir-là le JT, interviewe l'artiste et décide de lui poser une question sur l'équipe de France. « Vous les connaissez ces joueurs de l'équipe de France ? » Ce à quoi Johnny répondit : « J'en connais quelques-uns, oui, bien sûr. Je connais Zazie, hein, je l'adore » . Zazie. Zizou. On y était presque, Johnny.
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Gérard Collomb
La question des migrants est délicate pour Gérard Collomb. Le ministre de l'Intérieur a estimé, mercredi 30 mai 2018, que ces derniers faisaient du benchmarking (étude comparative de marché) de l'asile en Europe pour choisir leur destination finale. Une petite phrase prononcée devant le Sénat, relayée par nos confrères de Public Sénat.
"Le Sénat aime beaucoup, pour pouvoir trouver ses propres repères, regarder les différentes législations pour voir un peu comment l'on se situe par rapport aux autres pays européens, a commencé l'ancien maire socialiste de Lyon. Puis-je vous dire, monsieur le Président, qu'il n'y a pas que le Sénat qui fait du benchmarking, mais que les migrants aussi font un peu de benchmarking pour regarder les législations à travers l'Europe".
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Louis Nicollin
En octobre 2007,Rolland Courbis, alors entraîneur du club de Montpellier, est condamné dans l'affaire des transferts de l'OM. Réaction de son président, Louis Nicollin : "Je m'en bas les couilles complet, s'il me fait monter en première division, hein. Bien sûr, s'il vendait de la drogue ou violait les petites filles, ça m'emmerderait.... Ça, j'accepterais pas. Mais pour des conneries pareilles"
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Bruno Le Maire
Le dimanche 2 octobre 2016, au "grand rendez-vous Europe 1/i Télé",
il déclare que s'il n'est pas qualifié au second tour de la primaire de la droite, il "ne ralliera personne". "Que les choses soient claires, pas de ralliement à personne, liberté totale. Je défends un projet, je défends des convictions et j'irais abandonner tout ça, j'irais abandonner des centaines de milliers et j'espère demain des millions d'électeurs ? Jamais". Dès 21h30, le soir du premier tour, où il n'atteint que 2,4% des voix, il déclare : "Je voterai pour François Fillon au second tour de la primaire." Mais non, ce n'est pas un ralliement!
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